Dylan était le plus heureux des hommes, en effet, dans moins de 1O minutes, il allait revoir le visage angélique et parfait de son actuel petit ami, et rien que pour ça, il ne pouvait pas s'empêcher de sourire à tout va contre le vent. Il marchait, dans les rues de Tree Hill, en regardant à droite à gauche. Le week end démarrait superbement bien puisque nous étions à peine samedi matin, aux alentours de 1OhOO, et Dylan avait déjà la certitude qu'il allait passer un moment de rêve avec son petit chéwi Alec. Leur rencontre avait été un peu spécial, mais depuis, ils ne pouvaient plus vraiment se passer l'un de l'autre tant l'amour qui les unissait était sincère et honnête. Basée sur la confiance et le respect, leur relation évoluait de jour en jour pour atteindre, il l'espérait en tous les cas, bientôt le summum de l'apothéose. Mais il y avait encore des obstacles, et le tout premier était sûrement le statut "gay" de leur relation qui malgré l'ouverture d'esprit du pays n'était pas vraiment accepté par tout le monde, et surtout par les parents de Dylan. Il savait que ses parents ne pourraient tolérer son orientation, surtout depuis que son père lui mettait la pression pour qu'il termine ses études avec mention "très bien" sur son diplôme. Allez rajouter à un "Je veux pas reprendre ta concession, je veux être basketteur", un "Je suis homosexuel !" et croyez moi, Dylan pouvait signer son suicide directement. C'était donc ça... L'Amérique ?!?

Il marchait en essayant de ne pas y penser. Après tout, il s'acceptait très bien, et Lena aussi, c'était le plus important. La jeune fille avait été surprise mais contente pour son meilleur ami, et par dessus tout, elle avait tenu à savoir qui était le garçon qui faisait tant de bien à son petit Dylan ;; Chose promie, chose dûe. Voila une semaine que Dylan avait présenté Alec à sa meilleure amie et depuis, ils traînaient souvent les 3 dans les couloirs de l'école, et c'était vraiment bien. De cette façon, tout le monde ne pouvait pas comprendre que Dylan et Alec formaient un couple, mais tout le monde pensait qu'ils formaient une petite bande d'ami de 3 personnes, comme on en voit partout, et c'était libérateur pour Dylan. Non pas qu'il avait honte de sa sexualité ou de son petit ami, mais il ne voulait pas que JT l'apprenne, il savait que son demi-frère n'hésiterai pas une seule seconde à jouer de cette "faille" pour lui faire du mal. Et Dylan se refusait à voir son demi-frère détruire son couple et surtout, toucher à un seul cheveux de la tête à Alec ! Voila qu'il se mit à sourir en y pensant... Alec !!! Ce garçon était phénoménale, et tellement beau. Il en avait de la chance, ainsi, lorsqu'il arriva devant la porte du loft des Johnson, il toqua en soupirant calmement. Trop heureux de revoir son petit chéwiiii toute la journée (= Habillé d'un jean délavé, troué sur le genoux et d'un t-shirt assez serré qui moulait ses muscles parfaitement, il attendait sur le pas de la porte qu'Alec lui ouvre !

Encore une journée monotone au lycée, décidément je commençais à n'avoir qu'une envie, quitter cet établissement pour vivre ma vie. Mais il faut avouer que le lycée n'était pas le seul problème. Les cours me souleraient complètement, j'avais perdu cette envie de vivre, de réussir mais surtout ma gaieté et mon bonheur. L'unique raison ce cacher sous une chevelure châtain clair, un regard angélique et tendre et un corps d'apollon. Une intelligence que peut de personne possède mais aussi un cœur, un réel amour à donner. Il était celui qui chaque jour m'offrait une raison de vivre dans ce monde. Il y avait bien sur un nom sous cela, le sien ; Dylan Hellstrom. Je me levais chaque matin dans l’espoir de le croiser dans un couloir, que son regard se pose sur moi, ou que encore on se bouscule. Une obsession dirait vous ?! Moi je parle du vrai amour, celui sincère et pour qui l’on ferait n’importe quoi. Et pas cet amour futile que l’on voyait dans les films, sincèrement ou était passé la beauté de l’amour, le coup de foudre, celui que l’on n’attend pas. La vraie tendresse du premier regard, et non un sentiment fataliste qui vous tombent dessus et qui devient votre pire ennemi. L’amour et le cinéma, sincèrement. La magie, les durs épreuves qui nous rendez si complice. La complicité entre deux personnes, et le je t’aime qui n’était pas un moyen de se faire pardonner mais deux mots, et huit lettres pleine de vérité. C’était ce que je ressentais pour lui, un vrai amour et pas une histoire à la Brad et Angélina. Tout était cependant parfait lui et moi, il assumait le fait de m’aimer même s’il ne le montrait pas mais un petit texto qui dit je t’aime me suffisait.

Je dormais, enfin j’étais dans mon lit l’air heureux et un peu incrédule, amoureux ? C’était sur. Je regardais sur l’écran plat de ma chambre une de ces séries à l’eau de rose, ou tout le monde s’aimer dans un monde un peu étrange, la fille aime un garçon qui ne l’aime pas en retour et tout fini bien dans le meilleur des mondes, c’était tellement ridicule. Un son retenti prés de la porte, ce n’était pas mes parents étant en voyage. Je sortais en trainant des pieds, attrapant un jean le premier qui était sur le sol, un peu trop grand il laissait apparaitre un bout de mon boxer rouge. Je ne pris pas le temps d’enfiler un tee shirt, arrivant à la porte, j’ouvrit. Mon visage passa d’une expression sans expression à un immense sourire dut à ce regard posé sur moi, il était magnifique, tout ce que je désirais.

- Salut Dylan … entre dit il en passant sa main dans ces cheveux.

Ils restaient prudent, Alec savait que Dylan ne voulait pas que son crétin de frère l’apprenne pour eux d’eux. Alec referma la porte derrière son petit ami, à peine cette action faite qu’il l’embrassa tendrement, il lui avait manquer tellement …

Devant la porte du loft d'Alec, Dylan crevait d'impatience. Il n'espérait qu'une chose, voir apparaître son homme devant lui lorsque la porte s'ouvrirait. Il ne savait pas si les parents du jeune garçon étaient encore là, car son petit ami lui avait bien dit que ses parents partiraient pour le week end, mais il n'avait pas précisé s'ils partaient le samedi matin ou le vendredi soir. Voila pourquoi il espérait réellement voir son petit ami apparaître en cette si belle matinée, et il ne fut pas déçu. Tapotant sur ses cuisses avec ses doigts en attendant, il repensait à toute leur histoire, qui était des plus attendrissante. Tout simplement pour le fait du hasard, ils s'étaient rentrés dedans un beau matin, et voila qu'ils sortaient ensemble depuis déjà 3 bon mois. Leur amour ne céssait d'augmenter en fonction des jours et de leurs rendez-vous ! Aujourd'hui, Dylan savait qu'ils leur suffiraient de se voir pour comprendre qu'ils étaient faits l'un pour l'autre et surtout pour savoir qu'ils allaient passer un excellent moment tous les deux. Lorsqu'on ouvrit la porte, Dylan secoua son visage. C'était effectivement Alec qui se tenait devant lui, et croyez moi... Ce qu'il vu le rendait encore plus fou amoureux de ce garçon. Torse nu et en jogging, il lui sourit en passant une main dans ses cheveux avant d'inviter son cher et tendre à rentre. Dylan sourit, il avait vraiment beaucoup de chance de sortir avec quelqu'un comme lui, non seulement Alec était beau, mais il était intelligent, charmant et tellement gentil. Et depuis qu'il l'avait présenté à Lena, il ne pouvait plus se passer de crier à sa meilleure amie tout l'amour qu'il portait pour son jeune petit ami.

« Salut Alec ! » lui dit-il en entrant alors dans son loft. Il se retourna pour le regarder, et ouvrit la bouche doucement avant de rajouter « Comment vas ... »

Mais il fut couper. Alec le scotcha au mur. Quelle fougue (= Dylan se laissa faire. Sous l'emprise des muscles de son petit ami, et dans l'intimité de leurs seuls regards, il ne pouvait qu'agréer à une telle fougue. Il ferma instinctivement les yeux lorsque les lèvres de son petit ami frolèrent les siennes. Puis, c'est un baiser passionné qu'ils échangèrent. Comme si par un simple baiser, ils exprimaient tout l'amour qu'ils avaient l'un pour l'autre. Dylan lui passa une main dans ses cheveux avant de les glisser le long de son dos pour les poser ensuite dans les poches arrières de son jogging. Il prolongea le baiser quelques secondes avant de se détacher un tout petit peu, juste ce qu'il fallait pour pouvoir le voir dans les yeux et dire dans un ton suave et attendrissant.

« Tu as l'air d'aller bien ce matin... », il rit doucement avant de l'embrasser doucement à nouveau. Puis, avec un petit regard de chien battu, il rajouta en souriant « Tu m'as terriblement manqué Alec ! »

Alec se rappelait parfaitement bien son coming out, il avait était si sur de lui qu’il aurait pu le crier à la terre entièrement. Alec avait toujours était sur de lui, il aimait sa force de caractère, être sur de lui et savoir ce qu’il voulait. C’était en pleine été, alors qu’il n’avait que seize ans, c’était déjà un homme, fort et courageux. Alec Johnson est le genre de garçon qui a tout ce qu’il veut, né dans une famille très aisée, fils unique ces parents lui on toujours satisfait tout ces caprices. Son style jean délavée et pull un peu Veillot dirait pourtant le contraire, il déteste sa fortune, ce dire que les gens l’aime parce qu’il est très riche, c’est sans doute l’une des raison qui font qu’Alec n’accorde pas sa confiance facilement.

Le mois d’aout offrait à Miami un soleil parfait, une douce atmosphère se levait chaque matin sur la ville, plus belle de jour en jour, pendant des vacances entre ami sont but était simple, s’amuser, rien de plus rien de moi. Une soirée de plus avait lieu, dans un club de Miami le 43&10, un bar gay, l’envie de rire était présente, et ils décidèrent de passer une soirée la bas, juste pour s’amuser, mais Alec qui n’était déjà pas très sur de lui, comprit vite le sens de sa vie, ses sentiments et ces désirs. Ce soir la il comprit, qu’il n’était pas fait pour aimer les filles mais les hommes et rien ne l’avait rendu plus heureux que cette idée. Alec trouvait sa cool, mais il avait trouvé quelqu’un qu’il aimer bien ce soir la sans le savoir, il était tombé amoureuse. Depuis une bonne année, Alec assumait totalement ce que ces parents n’apprécier pas, son homosexualité.

Alec était un habituer des clubs branchés, il avait la classe et l’argent pour se rendre dans touts les club les plus branché des villes, sa dernière trouvaille le Bloc 122, un club très classe et réputée de Manhattan. Une allure classe, de la bonne musique, des millions de filles prête à tout pour le mettre dans son lit, mais lui il s’en fichait, son seul et unique amour était Dylan, amoureux depuis plusieurs semaine. Alec avait comprit avec Dylan que ses sentiments pour le première garçon qu’il avait aimer n’était que pur attirance. Dylan c’était son rayon de soleil, comme un souffle d’air chaud dans une longue nuit d’hiver, il n’imaginer pas vivre sa vie sans lui. Depuis le premier regard, il avait sur, cette histoire pouvait paraitre stupide ou digne d’un conte de fée mais Dylan était la personne pour qui il aurait sacrifier sa vie.

L’avoir à lui ce matin était son sommet, son apothéose, comme si rien ne pouvait être meilleure. Les tendres lèvres de son amoureux sur les siennes, sa main dans son dos, son sourire, tout ce qui faisait qu’il en était dingue. Alec fut assez brusque avec lu mais il n’avait attendu que sa de toute la semaine, ce moment dans ces bras leur intimité, juste eux dans une maison vide.

« Mes parents ne sont pas la du Week-end, tu resterait avec ton sublime petit ami ?

Il attendait une réponse positive, son impatience se lisait sur son visage, il voulait entre un doux oui sortir de sa bouche parfaite. Alec pouvait se montrer très romantique pour lui plaire, il aurait de toute manière fait n’importe quoi pour lui. C’est pour cette unique raison qu’il acceptait de rester discret sur leur relation pour ne pas que le frère cretin et stupide de son ami le sache. Alec n’avait qu’une envie, frapper sa petite tête angélique vide. Alec secoua légèrement le crâne pour s’enlever le visage de JT de ces pensées.

« Tu es tellement beau , c’est un crime ….

Il l ‘embrassa de nouveau. Ce fut un baiser passionner, plein d’amour et de tendresse, le genre de baiser que l’on voit dans les films sauf qu’Alec lui l’aimait plus que tout au monde. Dylan sourit et Alec fut au paradis, son sourire c’était le fruit de leur histoire, il était gravé à jamais dans sa mémoire, remplace, il l’aimait.

« Je t’aime Dylan Hellstrom.

Il ne rajouta rien, juste un regard sincère
« Mais quel crétin je fais, je t’ai même pas proposer à boire ou à manger … Tu veux quelques choses ?

Il y avait deux manières d'aimer. La première reposait juste dans la confiance, l'attirance. Une sorte d'amour à sens unique que l'on éprouvait pour l'être aimé dès le premier instant de la rencontre, dès le premier regard. C'était un amour platonique, sans lendemain et pas réciproque, mais néanmoins, il s'agissait d'un amour fort qui pouvait nous rendre complètement dépendant à l'être en question. Il était donc très dur pour l'homme qui aimait de la sorte d'oublier l'objet chéri et par dur, j'entends pratiquement impossible. Parlant par connaissance, on n'a tous un jour éprouvé pour quelqu'un une telle attirance qu'on ne pouvait plus que voir son reflet dans nos rêves lorsque l'on fermait les yeux. Un amour qui nous bouffe, nous rend fou et qui nous empêche de réfléchir, un amour que l'on pourrait cataloguer d'amour impossible car ce ne sont des sentiments qui ne seront pas partagés. Et c'était en cette sorte de sensation non-réciproque que reposait la première façon d'aimer. La deuxième, elle, était plus sincère, basée sur le partage, l'écoute et la confiance. Et c'était sans hésitation la plus belle façon que l'être humain avait d'aimer. Un amour fort, indestructible et complètement partagé par l'être aimé. Voila ce qui unissait nos deux jeunes adolescent qui vivaient pleinement leur amour et leur relation depuis qu'ils avaient rencontré en chacun d'eux une partie qui manquait à eux-même. Ils étaient complémentaires, ils se mélangeaient et devenaient une personne à part entière. Et quelle façon d'aimer pouvait être plus forte que celle où il s'agissait de se donner entièrement dans une relation.

L'âme de Dylan se plongeait dans celle d'Alec à chaque fois qu'ils se retrouvaient, et pour cause. D'aussi loin que remontent les souvenirs de notre petit basketteur, il lui était impossible de décrire une seule relation qui l'avait autant fait frémir et ressentir tant d'émotion. Peut-être tout simplement parce qu'Alec était le premier garçon qu'il aimait tout simplement. Lui qui avait toujours eu que des filles pour petites amies, avoir un garçon changeait toute la donne. Et quelle donne ! Les rares moments qu'ils partageaient en intimité étaient des moments de pur bonheur, impossible d'y trouver un seul point noir et si leur relation était encore neuve dans la durée, elle était vieille dans les sentiments puisque pour Dylan, il n'y avait aucun doute. Alec était son âme soeur, sa seule raison d'exister et de se battre. Son trésor... Et en tant que trésor, Dylan veillait sur Alec avec jalousie, possessivité et égoïsme. Il le dépensait à sa manière, dans l'intimité et en profitait toujouurs plus. Mais il était hors de question qu'il partage cette partie de sa vie à qui le voulait, car Dylan était égoïste... Alec n'était qu'à lui, et il avait peur qu'en parlant de la chance que la vie lui avait donné lorsqu'il avait rencontré Alec au grand jour, que cette dernière cherche à le lui reprendre. Et il ne pouvait s'imaginer une seule seconde le perdre, recommencer sa vie sans lui... Quelle horreur ! Qu'importe, il était avec lui en cet instant précis et ils partageaient un instant privilégié...

Alec l'embrassa à nouveau. La chaleur, l'amour, le partage... Tout se retrouvait dans un seul de ces baisers qu'ils partageaient. Ils étaient tellement... amoureux ! C'est niais et gnan-gnan, mais c'est tellement bon et Dylan ne s'en sentirait jamais complètement "full". Lui, ne vivait que pour lui, et lui aussi ! Hiiii c'est tellement bizarre de parler d'amour quand on entre dans une telle partie intime de l'être humain. A dire vrai, Dylan n'aurait pas su exactement décrire ce qu'il ressentait, mais Alec avec cette façon de lui faire comprendre qu'il le possédait entièrement, et c'était ça qui était vraiment bonnnnnn ! Leur baiser s'acheva sur un "je t'aime" de la part de son cher et tendre et Dylan lui répondit par un sourir timide. Lorsque son petit ami lui proposa à boire, Dylan se détacha un peu de son étreinte et passa une main dans ses propres cheveux. Il n'aimait pas agir comme s'il était chez lui, mais Alec avait le don de savoir le mettre toujours très à l'aise )

« Je veux bien... Du jus d'orange ! »
Lui dit-il alors en suivant son petit ami vers la cuisine Tout commençait de manière parfaite et Dylan avait bon espoir que leur journée n'en serait que plus belle (= Même s'il ne pouvait s'empêcher de penser à Lena qui n'allait pas vraiment bien en ce moment..